Création participative
dans le cadre de Regards dansants - [focus] Josef Nadj
projet dirigé par Camille Gerbeau
Dans le cadre de Regards Dansants, nous vous proposons une expérience de création partagée, un projet participatif regroupant une vingtaine d'amateurs. Camille Gerbeau souhaite intégrer le regard du spectateur dans l'expérience collaborative, sur les déplacements de groupes et la force de l'image du collectif.
L’atelier
Inscription au 06 63 86 41 85 ou
regardsdansants.cotentin@gmail.com
La présentation publique soirée RD#6
Samedi 2 février à 18h, au Trident – le Vox, entrée libre
Mille kilomètres par heure est sensiblement
la vitesse de rotation de la Terre à la latitude de Cherbourg ! Le premier
à mettre en évidence la rotation de la Terre fut Léon Foucault, grâce à son
fameux pendule. D’oscillations en rotations, de mouvements pendulaires et
girations, il n’y a qu’ un pas de danse et Camille Gerbeau s’inspire
librement de ces travaux de Foucault pour proposer une pièce participative où
il sera question de mouvements de groupes, physiques et poétiques. Danseur et
chorégraphe, Camille Gerbeau est aussi co-fondateur avec Pascale Ansot de
Regards dansants.
le pendule de Foucault et la preuve de la rotation de la Terre,
+ ou - 1000 Km/h est la vitesse de
sa rotation.
La première expérience a lieu le 3 janvier 1851 dans la cave de sa maison située au carrefour des rues d'Assas et de Vaugirard (Paris). La première démonstration publique date de 1851, le pendule étant accroché à la voûte du Panthéon de Paris. L'intérêt du pendule, imaginé et réalisé par Foucault, est qu'il met en évidence la rotation de la Terre par une expérience locale aisément reproductible et que l'on peut également déterminer, par mesure de la déviation au sol. En 1851, les lâchers du pendule avaient un certain cérémonial. Léon Foucault décrit dans un compte-rendu à l'Académie des Sciences la manière dont il procède : « Quand on veut procéder à l’expérience, on commence par l’observation du pendule, obéissant à la seule force de la gravité, dans une longue suite d’oscillations dont le plan ne tarde pas à éprouver un déplacement sensible. »