Il a tout traversé. Le rock’n’roll, l’electro, la chanson : il les a habités, débauchés, magnifiés. Il a été le contemporain de Serge Gainsbourg et des juke-boxes, de John Lennon et des bals du samedi soir. Il vit désormais, à son heure propre, convoité et insaisissable : Christophe, le dernier des Bevilacqua, le dandy populaire, l’esthète lunaire.
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Après Les Paradis perdus, Les mots bleus, Samouraï et Le beau bizarre, quatre albums qui marquèrent les années 70, l’homme reste discret et traverse la décennie suivante sur la pointe des pieds. Jusqu’à ce qu’un an avant le premier album de Daft Punk, il sort Bevilacqua. Christophe est dans la place, le crooner de drame est dans l’electro : Comm’si la terre penchait est le versant sombre et contemporain des Mots bleus, annonçant le lumineux et impérial Aimer ce que nous sommes d’aujourd’hui.